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Derniére mise à jour du site le 23/12/06

Yayoi Kusama

Yayoi Kusama s'est appelé le plus grand artiste vivant du Japon. Soutenu à Matsumoto, préfecture de Nagano, elle est partie de son pays d'origine à l'âge de 27 pour New York City. Pendant son temps aux Etats-Unis, elle a rapidement établi sa réputation en tant que chef dans le mouvement d'avant-garde.

Son travail partage quelques attributs du féminisme, de minimalisme, de surrealism, d'art Brut, de bruit, et d'expressionisme abstrait, mais elle se décrit en tant qu'artiste obsédante. Son dessin-modèle est infusé avec le contenu autobiographique, psychologique, et sexuel, et inclut des peintures, des sculptures molles, l'art d'exécution et des installations.

Archives :

• le 23/12/06 : arts "Miss Van" Graff toulousain
• le 24/11/06 : arts "Fafi" Graff toulousain
• le 29/10/06 : arts "Duane michals"
• le 05/10/06 : printemps de septembre
• le 03/10/06 : magazine "étapes"
• le 14/09/06 : musée Loulouse Lautrec
• le 10/09/06 : arts "Yayoi Kusama"

Yayoi Kusama a montré le travail avec Claes Oldenbourg, Andy Warhol, et jaspe Johns. Le Japon représenté par Kusama à Venise Biennale en 1993, et en 1998 et 1999 une exposition rétrospective importante de son travail a voyagé les ETATS-UNIS et le Japon.

Yayoi Kusama est également un consommateur . Depuis l'enfance, elle a souffert des hallucinations et des pensées obsédantes graves, souvent à caractère suicidaire. Aujourd'hui elle vit dans un hôpital mental à Tokyo, où elle a continué à produire le travail depuis les mi-années '70. Son studio est une distance courte de l'hôpital. "s'il n'étaient pas pour l'art, je me serais tué il y a un long temps," Kusama est souvent cité comme disant.

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Tôt dans la carrière de Kusama, elle a commencé des surfaces de bâche par les points de polka qui deviendraient une marque déposée de son travail. Les vastes champs des points de polka, ou l'"infini produit net", comme elle les a appelés, ont été pris directement de ses hallucinations.

Voici un rapport par Yayoi Kusama au sujet de sa fleur autorisée par peinture 1954 : "un jour je regardais les modèles rouges de fleur de la nappe sur une table, et quand j'ai recherché j'ai vu le même modèle couvrir le plafond, les fenêtres et les murs, et finalement partout la salle, mon corps et l'univers. Je me suis senti comme si j'avais commencé individu-à effacer, pour tourner dans l'infini de la période sans fin et de la réalité de l'espace, et sois réduit au néant. Comme j'ai réalisé qu'il se produisait réellement et pas simplement dans mon imagination, j'ai été effrayé. J'ai su que j'ai dû courir loin de peur que je devrais être privé de ma vie par le charme des fleurs rouges. J'ai monté en courant désespérément les escaliers. Les étapes au-dessous de moi ont commencé à tomber en morceaux et je suis tombé en bas des escaliers tendant ma cheville."